Page de beauté que je souhaite vous faire partager dans sa pauvreté qu'est la lavande. Cette
lavande dont
il sort une
essence puissante
avec laquelle
le parfum
de lavande
en est à l'origine. Découvert un peu par hasard, il a été cultivé à partir des années 1930. Le lavandin est aujourd'hui l'espèce la plus cultivée, car sa fleur est plus productive en huile essentielle que la lavande vraie. Par contre, son essence a une moins bonne qualité olfactive, et est utilisée dans la parfumerie industrielle. Par rapport à la précédente, ses feuilles sont plus larges (elliptiques) et très odorantes. La floraison est plus tardive (juin-août), et les fleurs ont une odeur très camphrée. Elles poussent à l'extrémité de tiges ramifiées, ce qui est le moyen le plus sûr de la différencier de la lavande vraie. Elle est beaucoup moins appréciée en parfumerie. C'est pour la lavande aspic. La lavande des Alpes, lavande fine est la meilleure des lavandes pour la qualité de son huile essentielle. À l'état sauvage, elle pousse surtout en Provence, mais elle peut être cultivée dans des régions plus septentrionales, d'autant qu'il en existe de nombreux cultivars. C'est un arbrisseau buissonnant pouvant atteindre 1 m de hauteur. Les feuilles, linéaires et de couleur gris vert, ont une longueur variant entre 3 et 5 cm. Lors de la floraison (avril-mai), la plante développe de longs pédoncules non ramifiés terminés par des épis dont la couleur varie du mauve pâle au violet. À l'état sauvage, c'est certainement la lavande dont le territoire géographique est le plus vaste (tout le pourtour méditerranéen). Mais elle n'est d'aucune utilité en parfumerie : elle sent un peu le camphre, et rien d'autre. Elle se distingue des espèces précédentes par deux caractéristiques : d'une part elle apprécie surtout les terrains siliceux, notamment le schiste; de l'autre elle possède à l'extrémité de ses épis de grandes bractées violettes, souvent plus foncées que les fleurs proprement dites. Floraison : avril-juillet. C'est pour la lavande stéchas, lavande papillon.
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D'intérieur, souvent l'on ne saisit... |
pas ce que c'est... |
par exemple, cette salle... |
cet autre coin.... |
perdu dans la lavande... |
plus près encore... |
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nous passons d'une pièce à l'autre... |
ce tas de pierres sans ciment |
dévoile son nom : une borie ! |
Ceci correspond à chaque sommet du toit : une cheminée ! |
Au milieu d'une lavande odorante... |
toute l'année, la vie des paysans... |
cette lavande qui affleure la chaussée |
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alors qu'en bien edes endroits... |
sa pauvreté miroite celle de l'homme |
sous la chaleur implacable du lieu |
![]() |
La situation de celle-ci surprend... |
de par son encaissement et,... |
pourtant sur, place,... |
tout est si plat que l'on a peine... |
à croire que nous nous trouvons... |
dans la Drôme qui, d'un côté... |
prend la couleur de l'abricot et... |
l'autre de la lavande ! |