
Pour accéder à leur habitat, le visiteur s'oblige a gravir
un nombre conséquent de marches |

On y découvre des décoiffées. Elles aussi, se découvrent...
à notre arrivée ! Hum ! c'est réservé aux hommes ! |
Et
en voici une en pleine naissance ! C'est ainsi qu'elles
apparaissent.
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Quelques explications au pasage, si vou sparvenez à les lire... |

Une autre forme de naissance d'une demoiselle coiffées. |

Vous remarquez ici le processus de l'érosion qui use le sédiment
friable qui maintient à bout de bras une masse plus dure
en son sommet. |

Lorsque le sédiment friable ne parvient plus à soutenir la
roche si lourde, parfois 800 tonnes, celle-ci prend du
gîte... |

Et s'en libère comme à droite. Ce qui n'empêche le tempéraemment
d'autre plus costaud comme à gauche ou svelte au centre. |

Pour parler de pachiderme, voici celle qui pèse ses 800 tonnes.
Oh ! une bagatelle ! |

Moins fortes, mais tout de même imposantes, quelques unes
se profilent à l'horizon. |

Parfois plusieurs colonnes sont nécessaires au soutient pesant. |

Parfois, d'autres, on se demande comment elles y arrivent
! |

Alors, toute une réunion se produit et soutient les faibles,
pour encourageux les exceptions comme cette coiffe ! |

Qui ne manque pas de ne pas se faire de cheveux !
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Il y en a qui monte la garde devant les remparts. |

font bonne figure devant le visiteur. |

Au-dessus de la végatation qu'elles dominent. |

Et ici, est-ce un peuplier ou une demoiselle ? Qui soutient
l'autre ? |

Et ceci face au beau paysage vertigineux.
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Qui, malgré tous les angles, ne laisse pas indiférent le
visiteur de tous les temps ! |

Alors après avoir tout vu au plus ppossible, on redescent. |

Laissant derrière soi les visitées d'un instant. |
 Laissant
découvrir un étang en contre-bas et... |
 ...
et pas des moindre, le plus grand d'Europe ! |
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 Il
y en a même qui se défendent avec des épines comme des
roses. |
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