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SACRÉ-CŒUR Je reprends ici, textuellement les textes explicatifs
du Missel et Vesperal quotidiens Dom Gérard que j'ai sous les yeux
et qui m'inspire pour le reste de la Liturgie afin de vous enrichir
par ce site. Approuvée par Clément XIII, en 1765, la fête du Sacré-Cœur fut étendue à l'Eglise universelle par le Pape Pie IX en 1856, et élevée au rang de fête primaire par Léon XIII, en 1885. Par décret du 29 janvier 1929, Pie XI l'éleva au rite de 1 ère classe avec octave et prescrivit une Messe et un office nouveau. Cette fête se situe le vendredi qui suit la Fête-Dieu et sa solennité le dimanche qui suit ce vendredi. Voilà pour la petite histoire, pour ce qui est de ce que procure le Sacré-Cœur, voyez le peu ci-après. C'est surtout par le sacrifice de la croix et le sacrement de l'Eucharistie que l'amour de Jésus nous est manifesté. Ce don de la chârité divine demande, en retour, le don de notre cœur en qui le Christ habite par la foi. Par la pratique des vertus, la douceur, l'humilité et la soumission surtout, nous devons imiter le Seigneur qui a versé pour nous jusqu'à la dernière goutte de son sang. La couleur liturgique de la fête du Sacré-Cœur est le blanc : symbole de la pureté divine que l'Esprit-Saint aspire en nos âmes. AJOUT DU 4/12/2016 (portrait inclus, tous droits réservés): LES PREMIERS VENDREDIS DE CHAQUE MOIS CONSACRES AU SACRE-CŒUR A l'occasion d'une pratique ancestrale, actuellement peu mis en valeur, le site juge utile de mettre le Sacré-Coeur à l'honneur en son titre, au même titre que le Christ-Roi. En effet, la dévotion au Sacré-Coeur de Jésus doit reprendre de la vigueur. Et, pour l'anecdote, actuellement, un père de famille pratique les premiers vendredis du mois. A chaque premier vendredi du mois, il se passa un évènement extraordinaire : Accompagné par sa cousine perdue de vue durant 40 ans et revenant à la foi doucement et ce premier vendredi précédent le dernier premier samedi du mois à la Ste Vierge ; première fois de sa vie qu'il communie 4 fois et donc aussi souvent en une semaine, dont une neuvaine en cours qui profita de deux communions ; visite imprévue d'un évêque et Messe dite par lui avec bénédiction des images de la chapelle ; première fois qu'il est accompagné de deux enfants, alors difficile à réunir ; et ce n'est pas fini, il en reste 5 qui se terminent à une date d'un double anniversaire très importante pour lui le 5 mai, St Pie V et son projet et aussi le début de ses 5 premiers samedis du mois à la Sainte vierge (qui commença le 7 mai 2016). Et ce ne fut pas calculé. Une précision importante quant au côté pratique de la pratique : la Messe dite à ces occasions n'est pas forcément la Messe du Sacré-Cœur. Toute Messe de saints ou saintes ou martyrs, voire même de la Sainte Vierge est tout aussi valable. Pourtant, il n'est pas facile de d'être libre, lorsqu'on travaille ces jours-là. Or il ne s'agit que d'une année de labeur. Donc, demander des congés payés ces jours-ci ne coûtent que 18 jours au final mais une seule année de sa vie. Aussi. il n'y a pas d'excuse lorsqu'on le sait et que l'on peut. Ce que le Bon Dieu demande n'est pas impossible, loin de là ! Ceci pour la petite histoire. Pour connaître cette pratique, en voici le résumé, tirée de La Porte Latine. En plus de la célébration liturgique, plusieurs autres dévotions ont pour objet le Coeur du Christ. La dévotion au Coeur de notre Sauveur est l’une des plus répandues dans l’Église catholique aujourd’hui. La « grande promesse » des neuf premiers vendredis du mois est la pratique de la dévotion des neuf premiers vendredis du mois. Elle tient son origine de la « grande promesse » de Jésus à sainte Marguerite Marie Alacoque, en 1673) : « Je te promets dans l’excessive miséricorde de mon Coeur, que son amour tout-puissant accordera à tous ceux qui communieront les premiers vendredis du mois, neuf mois consécutifs, la grâce de la pénitence finale, ne mourant point dans ma disgrâce, ni sans recevoir les sacrements, mon divin Coeur se rendant leur asile assuré à ce dernier moment. » À une époque où la communion sacramentelle des fidèles était très rare, par les ravages du jansenisme, la pratique des neuf premiers vendredis du mois contribua d’une manière significative à la reprise de la pratique plus fréquente des sacrements de la Pénitence et de l’Eucharistie. Aujourd’hui, la dévotion des premiers vendredis du mois, si elle est pratiquée de la bonne façon, peut porter d’innombrables fruits spirituels. Par l'insertion intégrale de cette promesse dans la Bulle de canonisation de Sainte Marguerite-Marie (Acta Apostolicæ Sedis 1920, p. 503), en date du 13 mai 1920, le Pape Benoît XV a encouragé la pratique des communions réparatrices des neuf premiers vendredis du mois, en l'honneur du Sacré-Cœur. Les 12 promesses de Notre-Seigneur Jésus-Christ : 1. Je leur donnerai toutes les grâces nécessaires à leur état. 2. Je mettrai la paix dans leur famille. 3. Je les consolerai dans toutes leurs peines. 4. Je serai leur refuge assuré pendant la vie et surtout à la mort. 5. Je répandrai d'abondantes bénédictions sur toutes leurs entreprises. 6. Les pécheurs trouveront dans mon Cœur la source et l'océan infini de la miséricorde. 7. Les âmes tièdes deviendront ferventes. 8. Les âmes ferventes s'élèveront à une grande perfection. 9. Je bénirai moi-même les maisons où l'image de mon Sacré-Cœur sera exposée et honorée. 10. Je donnerai aux prêtres le talent de toucher les cœurs les plus endurcis. 11. Les personnes qui propageront cette dévotion auront leur nom écrit dans mon Cœur, où il ne sera jamais effacé. 12. Je te promets, dans l'excès de la miséricorde de mon Cœur, que son amour tout-puissant accordera à tous ceux qui communieront les premiers vendredis du mois, neuf fois de suite, la grâce de la pénitence finale, qu'ils ne mourront point dans ma disgrâce et sans recevoir leurs Sacrements, et que mon divin Cœur se rendra leur asile assuré à cette dernière heure. Les conditions pour obtenir ces grâces sont : 1. Recevoir la communion neuf premiers vendredis du mois consécutifs sans interruption. 2. Avoir l’intention d’honorer le Sacré-Coeur de Jésus et d’obtenir la grâce de la pénitence finale. 3. Offrir chaque communion en réparation pour les offenses commises contre le Saint Sacrement. Avec ceci on peut être assuré de la perennité de notre salut. Surtout, qu'à l'image de l'anecdote ci-dessus, la Sacré-Coeur semble faciliter la tâche pour s'y tenir. On ne peut pas dire, l'amour facilite toute chose et les rend toujours plus agréables, plus belles. Pour les derniers temps, les fidèles qui y seront, sont assuré qu'il y aura encore de la foi sur terre. En effet, dans les propos du Christ à sa douzième promesse, le mourant ne rendra jamais son âme sans les sacrements. Or les sacrements ne peuvent être dispensés que par un clerc conscré donc, au moins un prêtre fidèle. Ceci dit, il existe aussi une pratique concernant la Ste Vierge. Il s'agit des 5 premiers samedis du mois. Ce qui vous envoie à cette page. (4/12/2016 - 6/11/2020) |
