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Mise à jour du 30/04/2004 |
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... par le truchement d'anecdotes gentilles et ne manquant pas de couleurs, (même si le films est en noir et blanc). Il n'y a en fait pas grand chose à dire au risque de dévoiler la trame et le final inimaginable... Je vous laisse sur votre faim et vous souhaiter un bon spectacle émouvant... |
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lui permettaient d'obtenir le pardon des spectateurs face à d'autres œuvres mineures comme Septima página (Septième page, 1950). Le problème que j'ai rencontré pour ce réalisateur de talent pour son époque, ce fut d'obtenir des informations un peu partout, dans les milieux autorisés et d'autres beaucoup moins, car amateurs. C'est, paradoxalement parlant, chez ces derniers que je trouvais le plus d'informations. Ainsi je vous transmets ceci: Ladislao Vajda était un excellent narrateur. Il se servit de ce talent dans ces films. Particulièrement dans Marcelino pan y vino. Il baigna un peu dans tous les domaines semble-t-il, d'après les titres de ses films. Mais dès que j'aurai trouvé d'autres informations à son sujet, elles seront couchées ici sans tarder. Car il y a ici un trou phénoménal dans l'histoire du cinéma. |
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Cette page prendra un certain développement dans les mois à venir. Revenez-y de temps en temps! |
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