La plus belle histoire que le cinéma n'ai pu raconter, à mon
humble avis sur la femme, après la Sainte vierge.
en effet, ce film retrace l'histoire de tous les débordements
humains possibles incarnés dans une femme. N'est-ce pas la femme qui
incita Adam au péché, à notre état? Pourtant n'est-ce pas la femme
qui reconquit ce qu'elle a fait perdre à l'homme? N'est-ce pas dans
ce film, à sa façon, de remettre les pendules à l'heure aux femmes
devenues libérales, même à cette époque, en remettant les devoirs de
la femme qui la monte plus haut que l'homme? n'est-ce pas un beau film,
une belle histoire que cette fille dénuée de tout sens du genre humain,
par son orgueil, son égoïsme, sa méchanceté, mais, cas rare, pas bête
du tout!....
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Le travail de Zeffirelli
s'oriente surtout à améliorer les classiques et à les ressourcer.
Riche idée que cette vocation. Il réussit parfaitement avec ce film
où il mit un soin particulier aux couleurs et décors. Non satisfait
de cela, l'affrontement Taylor Burton mit un savoureuse dimension
à toute l'histoire. Il dþbute au cinþma
en 1950 comme assistant de Visconti après un commencement de carrière
au thþŠtre. Ses adaptations témoignent de
son intelligence de Shakespeare. Il en mit en scène théâtrales
plusieurs œuvres
à l'écran dans lesquels il mit de sa veine romantique. Enfant adultþrin,
sa múre lui invente un nom de famille. Celle-ci,
dessinatrice de mode, meurt de tuberculose alors qu'il atteind huit
ans. La cousine de son púre l'þlève. Il
devient dþcorateur de thþŠtre et de cinþma puis acteur aprús des þtudes
d'architecture...
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