Warning: main(include.php) [function.main]: failed to open stream: No such file or directory in /mnt/132/sdb/e/e/prosmpc/reconnaitrebonsfilms.php on line 6

Warning: main() [function.include]: Failed opening 'include.php' for inclusion (include_path='/mnt/132/sdb/e/e/prosmpc/include:.:/usr/php4/lib/php') in /mnt/132/sdb/e/e/prosmpc/reconnaitrebonsfilms.php on line 6
Nous sommes le
Rare qu'il n'y en ait pas. Cliquer sur le lien ci-dessus pour connaître sa signification.
Commentreconnaître lesbons films
Retour à l'Accueil
Mise à jour du 30/06/2004
Avertissement

Tous les textes ici rédigés sont ma propriété. Cependant, il peuvent être utilisés en toutes circonstances par les particuliers en citant la source du site. Pour le commercial il est impératif de m'en demander les autorisations nécessaires.

Les conseils ci-dessous, ne peuvent en aucun cas engager ma responsabilité. En effet, ces conseils sont donnés à titre général. Ils s'adaptent aux circonstances. Celles-ci n'étant jamais aisées, il est compréhensible qu'une mauvaise adaptation soit le fruit de contrariété pour les personnes qui les suivraient et les transmettraient. Enfin, ces conseils, selon les personnes qui en prennent connaissance, peuvent les interpréter différemment. Chacun est seul responsable de son interprétation et de ses actes.

Pour finir, le seul fait de prendre connaissance de ces conseils et de les retenir, n'engage que la personne qui les retient et en fait usage. Cet usage, normalement, ne peut apporter qu'un bien être supplémentaire. C'est la raison d'être de ces conseils.

-16- Les récompenses

Ces récompenses fort prisées pour le choix des mauvais film ne donnent aucune chance aux bons. Rares certains passent-ils, et souvent parce qu'ils ont du mauvais en eux. Ou alors c'est suivre cette conduite d'un pas en avant pour deux pas en arrière. Histoire de conforter aux yeux du public une présomption de sérieux. Ce qui signifie qu'ils sont conscients de ce qu'ils font et c'est aussi ce qu'il y a de plus grave. Mais le font-ils pour faire vraiment le mal pour le mal ou pour l'argent? Allez donc savoir. C'est certain, il y en a qui agissent pour le premier cas. C'est malheureux à dire, mais dans ce monde où de tout existe, forcément, il en existe de ce genre. Du reste, pourquoi cherchez sa récompense sur terre. N'est-ce pas au Ciel que nous l'auront pour l'éternité? Alors donc ces récompenses ne concernent pas les bonnes œuvres. Mais là n'est pas seulement l'intérêt principal des artistes, parfois la course à la récompense est pour simplement faire profiter de l'œuvre pour ce qu'elle fut faite, comme les Dix Commandements, Ben-Hur, entre autres. Pour le bien de tous. (30/06/2004)

-15- La publicité faite

La publicité est le seul moyen de faire connaître n'importe quoi. Mais elle coûte fort chère. Aussi, généralement les bons films ont des moyens limités car ne dépendant que rarement d'organismes financiers importants comme des producteurs renommés. Aussi, ceux-ci se servent des médias pour propager l'existence de leur œuvres. Que les articles soient à son avantage ou non, l'effet publicitaire est là. Le film alors ne tombera pas dans l'oubli. L'un de ces films fut tellement occulté par les médias que je ne me souviens même plus de son titre. Je sais qu'il est à la base d'une œuvre de Sacha Guitri et tournée avec Alain Delon et Jean-Paul Belmondo il y a quelques années de cela seulement, le dernier q'uils souhaitaient tourner ensemble. Il fut prudemment et simplement boycotté par les médias. Peu de copies furent tirées. Ce fut un fiasco complet. Il était pourtant à l'origine du début d'une série des œuvres de Sacha Guitri. Cela ne put aboutir. Le silence est parfois pire qu'une mauvaise publicité. Généralement, la publicité n'est pas, en soi un moyen d'analyser un film. Mais déjà, peut donner une première idée et selon ce que disent les journaux, l'idée peut être généralement juste si l'on se base sur la vertu que ces œuvres du 7 em art doivent développer. La présentation d'un film à un concours comme Hollywood, Cannes et d'autres encore sont des tremplins médiatiques. Si encore, ils parviennent à se faire représenter. (30/06/2004)

-14- Le genre

Qu'est-ce que le genre dans le cinéma? Pour moi, dans le métier, le genre, c'est plutôt, si je ne me trompe pas, est une tendance du film à traiter tel ou tel sujet: politique, religieux, historique, aventure, etc. Chacun a son genre et donc répondra à cette catégorie. Dans chacun de ces genres, il y a du bon comme du mauvais. Tout dépend, maintenant de la tendance. Tendance à la violence, à l'impudicité ou tout ensemble, un beau cocktail de mauvaises tendances, souvent explosif. Pourtant, il existe d'excellents films dans tous les genres. Mais il y a des genres qui ne sont pas bons du tout et il n'en existe pas de bons, je nomme par exemple, les fantastiques, les irréels (et non pas la science-fiction qui peut en comporter de bons)... "Alors quoi, il n'y a plus rien à voir," entendrais-je quelque part? Oui, il y a de quoi voir. Les bons films ne manquent pas de tous les temps du cinéma. A notre époque où ils sont rares, nous en trouvons tout de même. Et il y a bien de quoi occuper toute une vie d'homme à regarder des films à raison d'un par semaine en moyenne. Je ne puis vous les nommer tous, car ils ne sont pas tous en ma connaissance et cela me serait impossible. Il me faudrait en voir au moins un par jour et en faire un résumé critique. Certes, cela compléterait une bonne base de données fort utile. Je n'ai pas le temps de m'en occuper. Si un visiteur en a le temps et les moyens, je serai le premier à lui pointer un lien vers son site ainsi dédié. (30/06/2004)

-13- Ses aspirations

A quoi aspire-t-on logiquement sur notre bonne vieille terre qui en "bave" autant qu'on ne peut pas l'imaginer? Tout simplement de retourner rapidement au Ciel pour s'en débarrasser au plus vite. Mais ce n'est pas l'avis de tous ni de chacun. Alors, les variantes sur tel ou tel spectacle sont aussi nombreuses qu'il y a d'individus. C'est ce qui fait la richesse du monde, mais aussi sa pauvreté. L'une et l'autre se côtoient de toute éternité sur terre, même si tout a un commencement et donc un terme. Alors, la plus part du temps, je dirai même toujours, nous trouvons en tout individu une aspiration à la générosité. Cette générosité n'est pas également dispensée autour de soi ni sur soi-même. Mais elle existe bien. La plupart du temps, elle est pour soi-même. Les autres nous verront après et l'après n'en voit guère le jour. ALors, on ne s'occupe que de soi. Et soi, c'est moi, c'est vous, c'est l'égoïsme, l'égocentrisme. Or notre époque est férue en l'espèce. Ce qui augmente les malheureux, les miséreux. Alors donc, du moment que mes sens sont flattés, que je ressente de forte sensation, alors je vais voir les films d'actions, de brutalité, de violence et toute la panoplie qui va avec. Quant à aider le voisin malheureux qui serait ravi et ferait un tas de chose avec la valeur d'une place de cinéma pour un mauvais film, il n'en est pas question, et même on y pense même pas. Et pourtant ce n'est pas cher payé, et même bien payé, car les troubles du mauvais film ne vous toucheraient pas et seriez ravis d'aider une personne. C'est là que réside le bonheur, aider son semblable pour son bien. (30/06/2004)

-12- La critique progressiste

Quoi de plus normal pour les médias de prôner le contraire de la vertu. Pour eux, qui vivent du malheur des autres et qui s'enrichissent à leur dépendds, ne peuvent qu'entrenir leur rente. Alors, et ils le savent que trop bien, n'hésitent pas à prôner les mauvais films, à boycotter les bons si nécessaire et, malgré leurs défaites, s'en servent aussi pour tourner l'affaire à leur avantage à l'aide de mensonges éhontés. Il est donc évident que les critiques de la presse ne peuvent pas apporter ce que tout homme normal en attend. Seuls, à la rigueur les appréciations techniques peuvent être considérées, puisqu'ils sont si matérialistes que cela les en fait des spécialistes. L'homme de bien ne l'étant pas forcément, appréciera donc ce côté. Mais c'est le seul. Sauf, de se servir de ce qu'ils disent pour en comprendre le contraire et donc prendre sa décision en rapport. Par exemple, si les médias montent au nues un film c'est qu'il est réellement mauvais. Donc à proscrire de ses spectacles. Si par contre, il dénigre un autre, alors, il faut aller le voir. Mais méfiance tout de même car il peut vraiment être mauvais en tous points. Alors vaut mieux donc de ne pas s'y fier tant que cela, en tous cas pas aveuglément surtout. (30/06/2004)

-11- La critique catholique

Autrefois, l'Eglise Catholique imprimait une critique sur tous les films qui passaient dans les salles de chaque diocèse. Ces critiques étaient bonnes et l'on pouvait s'y fier. Pour ma part, je n'ai jamais été déçu jusqu'au moment, où elle faillit à son devoir d'orientation vers les années 1964 -1968. Alors, il fallut se faire une idée de ce qui nous manquait. Si par bonheur nous avions remarqué les principes d'analyses et sur quelles bases l'Eglise se basait, il n'est pas difficile dans cette page à s'apercevoir que les vertus en étaient le centre. Quoi de plus normal que pour Elle de défendre ce qu'elle enseigne. 0u l'inverse, les critiques des médias, à l'heure qu'il est prônent le contraires sans même le nommer, mais n'hésitent pas à l'occasion de s'en prendre à la vertu, à l'Eglise, comme nous le verront dans le châpitre suivant. (30/06/2004)

-10- L'aspect en général

L'analyse du film étant quasi faite, il reste une conclusion, celle d'une appréciation générale du film au regard de tous ces éléments. Alors, nous comprenons mieux l'affiche, les photos et notre décision ne peut plus être équivoque. Pourtant, il arrive parfois de ne pas pouvoir se décider à trancher car il manque une certaine valeur à tout cela. Un doute alors s'installe. Ce doute est justement là pour trancher ce différent. Ne dit-on pas là un dilemne? Oui, s'en est un aussi. A cause d'un des choix, l'autre ne peut être pris en considération. Pour le film il s'agit surtout de savoir, si oui ou non il faut le voir? Il n'y a pas de réponse normande sur son bonheur. Alors, puisque le doute persiste, s'installe, s'insinue même parfois, abstenons-nous pour suivre l'adage sage "dans le doute abstiens-toi". Donc, n'allons pas voir ce film douteux. Ils sont peut-être les plus mauvais. En tous cas, ils ne sont pas bons quoiqu'en disent peut-être vos amis, familles. (30/06/2004)

-9- Les scènes

Les scènes violentes, impudiques ou ensemble et selon le rythme plus ou moins élevés et, plus il est élevés, plus il est mauvais. Pour revenir au point de repère important que nous avons développé jusque là, tant que la vertu est atteinte, même sous prétexte de la mettre en valeur encore d'avantage, n'est pas un bon film. "Ne doit-on, pas rester objectif et ne pas considérer ainsi cet élément pour juger d'un film?" Non, car tout ce qui n'est pas vertu est vice. Et le vice apporte le dérèglement de la vie de l'homme. Les malheurs proviennent de ces vices qui en entraînent d'autres. Alors, je crois que déjà, l'homme est assez malheureux comme cela pour lui en rajouter. D'où le fait d'être intransigeant quant au cinéma qui n'élève pas à la vertu. Ces scènes, nous en avons une idée avec les photos, l'affiche du film. (30/06/2004)

-8- La musique

Cela ne paraît pas à première vue, mais la musique a un fort impact sur la mentalité de l'homme. Essayez de passer une musique mélancolique et vous serez envahis par un sentiment de mélancolie. De même pour une musique joyeuse, entraînante. Alors donc, pourquoi les réalisateurs n'utiliseraient-ils pas cette "magie" pour appuyer leurs images, qui déjà, font vibrer les cordes sensibles de l'entendement humain? Bien sûr qu'ils s'en servent. Mais à notre époque plus pour faire du mal au spectateur que le contraire. Or donc, alors que nous constatons dans les statistiques sur les médias, plus il y a de mauvaises nouvelles plus il y a d'audimat. Alors, les médias fabriquent de mauvaises nouvelles et le monde va au plus mal et ainsi de suite. Je dis médias, car se sont elles qui sont à l'affût des événements malheureux alors qu'il y en a tant d'heureux qui valent la peine d'en parler. Mais pour entretenir cette corne d'abondance, il faut ménager le monde par de bonnes nouvelles. Aussi, marche-t-on avec un pas en avant et deux pas en arrière. Du malheur des uns fait le bonheur des autres. C'est le monde, mais de là à orchestrer, c'est digne du cinéma et dans la réalité de la vie c'est monstrueux, scandaleux! Et, pour revenir à nos moutons, plus la musique est triste, sensuelle, morne, plus il faut fuir le film. Comment le reconnaître sur soi-même? Il suffit de s'analyser et d'être un peu honnête avec soi-même. Cette sensation de mal-être que procure la musique parfois est à proscrire de soi. Voilà tout! (30/06/2004)

-7- Le bruitage

Au fur et à mesure que le cinéma avançait dans le temps, les techniques sonores progressaient aussi. Nous en sommes arrivés à une qualité optimum. Mais est venu entre-temps un phénomène bruyant qui casse la tête au spectateur. D'abord, le son est mis bien trop fort dans les salles, sous prétexte que l'effet sonore ne rendrait pas autrement. Si le spectacle est l'abrutissement du spectateur sous une forme de matraquage de "boucans", alors, le 7 em art manque son objectif. Il est devenu étroit dans son angle de vision et n'utilisant qu'un téléobjectif trop puissant, ne parvient plus à saisir son sujet: le spectateur. Si un art est hors sujet, alors il perd son qualificatif d'art. Heureusement pour celui-ci, tous les films ne sont pas ainsi, même s'ils le sont pour la plupart. Ceux-là utilisent ce bruitage dans le bon sens, comme "La Passion du Christ" de Mel Gibson entre autres. (30/06/2004)

-6- Le sujet

Pour cet aspect de d'objectivité, il est indispensable de posséder quelques connaissances générales. Car, si certains sujets, et même en majorité, beaucoup sont issues d'œuvres littéraires voire d'événements historiques dans tous les domaines, il en est d'autres qui sont de pures inventions et il y a tout lieu de grandes craintes. Or, il n'est matériellement pas possible de tout connaître, mais il est possible toutefois que tel auteur, époque, domaine ou membres de la famille ou amis de nous apprendre et permettent des recroisements d'informations. Ainsi donc, il est assez facile d'observer un esprit critique quant à l'œuvre cinématographique. Tous les sujets qui traitent de la vertu de loin ou de près sont à surveiller. Ceux qui n'en parlent pas du tout ou sous-entendu, doivent, pour la plupart du temps être écartés. Ceux enfin qui en parlent ouvertement et dans le bon sens, valent très certainement le déplacement. (30/06/2004)

-5- Le réalisateur ou metteur en scène

Tout comme les acteurs, les réalisateurs ou metteur en scène conservent parfois leurs styles, leurs genres de réalisation. On peut se fier de la même façon. Si l'un utilise un acteur qui jouait dans des films douteux, alors on peut douter du film si le réalisateur n'a jamais changé son cap. Si par contre, c'est un mauvais réalisateur, dans le sens de la vertu et qui utilise un très bon acteur, toujours dans le même sens, alors il y a de quoi s'inquiéter. Car il l'utilise pour attirer dans le mal ceux qui n'y sont pas encore. (30/06/2004)

-4- Les acteurs

Généralement, les acteurs sont fidèles à leur styles à leur genre de rôle. Un acteur qui reste dans son cadre est un acteur qui assure le succès du film dans lequel il joue. Ainsi donc, un acteur qui agit souvent contre la vertu signale que le film n'est pas bon. A contrario, un acteur qui participe à beaucoup de films valables, garantit au spectateur un souvenir inoubliable. Entre autres bons acteurs du cinéma: Gary Grant.... (30/06/2004)

-3- Les photos

Ainsi que l'affiche, les photos montrent ce que l'affiche n'affiche pas. Elles permettent de remarquer des images que vous verrez dans le film. Si là aussi, les vertus sont mises à mal, alors faites demi-tour et déconseiller ensuite ce film si l'on vous en parle ou si vous en entendez parler comme bon. Oh! l'argument adverse vous rétorquera: "l'avez-vous vu?" Vous pourrez répondre: "Point n'est nécessaire, l'affiche, les photos en disent assez long contre la vertu" Si l'on critique la vertu, vous pouvez rétorquez: "Si la vertu n'avait pas été enseignée autrefois et encore maintenant, la société ne serait pas ce qu'elle mais bien pire et surtout pas aussi bien équipée pour notre qualité de vie. Mais nous serions restés au temps des romains, dans la barbarie". (30/06/2004)

-2- L'affiche

Cet instrument qui attire le regard qui ne fait que passer est un moyen fort puissant. Bien ou mal, l'image attire tout de suite. Elle flatte notre esprit car généralement agréable et surtout sans effort de compréhension. Cela se comprend, puisque nous vivons en permanence avec l'image. N'est-ce pas une image, un film permanent, que d'observer autour de nous ce qu'il se passe, ce que nous utilisons?

Pourtant l'affiche peut avoir une image mauvaise contraire aux vertus. Elle s'affiche parfois sans pudeur, sans retenue au grand scandale public mais étouffé par les médias. Une telle affiche condamne forcément le film. Il n'est pas à voir et à rejeter. Si vos amis disent pourquoi, alors affirmez qu'il choquera car contre la vertu. Qui choque sera choqué et perdra en partie ses repères. Ses repères peuvent être d'excellentes habitudes. Et ainsi sa vie peut basculer à l'opposé de ce qu'il fut. Ainsi s'explique le changement radical de certaines personnes que nous connaissons bien dans notre entourage. Et les problèmes commencent. Et cela n'est pas valable que pour un spectacle, mais aussi des fréquentations que nous pouvons avoir. (30/06/2004)

-1- Le titre

En dit bien long à lui tout seul. Pour s'en rendre compte, il est indispensable de se mettre en situation de recul et de critique. De recul, afin de ne pas se laisser aller par un quelconque parti-pris afin que son jugement reste équitable. Car d'emblée, il n'est pas dit que le film soit si mauvais que cela et même très bon. L'esprit critique, car nous nous trouvons en une époque où n'importe quoi est réalisé avec aucun sens du respect. La prudence, plus que la méfiance est de rigueur.

Quelques exemples concrets sont nécessaires. Un titre qui vante plus ou moins la violence ou tout ce qui est contraire aux vertus est forcément un mauvais film. Tout titre qui utilise les vertus peut être un bon film, mais la prudence oriente au doute, ne serait-ce pas une moquerie ou une tendance à entraîner au contraire? Il arrive, cependant, qu'un titre de vertu soit excellent comme le dernier dans le genre, "La Passion du Christ". Pour lequel je me méfia vu la violence compréhensible, cette fois-ci, et qui s'y affiche. (30/06/2004)

Page créée le 30/06/2004 par mpctcf