-16- Les
récompenses
Ces récompenses fort prisées
pour le choix des mauvais film ne donnent aucune chance aux bons. Rares
certains passent-ils, et souvent parce qu'ils ont du mauvais en eux.
Ou alors c'est suivre cette conduite d'un pas en avant pour deux pas
en arrière. Histoire de conforter aux yeux du public une présomption
de sérieux. Ce qui signifie qu'ils sont conscients de ce qu'ils
font et c'est aussi ce qu'il y a de plus grave. Mais le font-ils pour
faire
vraiment le mal pour le mal ou pour l'argent? Allez donc savoir. C'est
certain, il y en a qui agissent pour le premier cas. C'est malheureux
à dire, mais dans ce monde où de tout existe, forcément,
il en existe de ce genre. Du reste, pourquoi cherchez sa récompense
sur terre. N'est-ce pas au Ciel que nous l'auront pour l'éternité?
Alors donc ces récompenses
ne concernent pas les bonnes œuvres. Mais là n'est pas
seulement l'intérêt
principal des artistes, parfois la course à la récompense
est pour simplement faire profiter de l'œuvre pour ce qu'elle
fut faite, comme les Dix Commandements, Ben-Hur, entre autres. Pour
le bien de tous. (30/06/2004)
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-15- La publicité faite
La
publicité est le seul moyen de faire connaître n'importe
quoi. Mais elle coûte fort chère. Aussi, généralement
les bons films ont des moyens limités car ne dépendant
que rarement d'organismes financiers importants comme des producteurs
renommés. Aussi, ceux-ci
se servent des médias pour propager l'existence de leur œuvres.
Que les articles soient à son avantage ou non, l'effet
publicitaire est là. Le film alors ne tombera pas dans l'oubli.
L'un de ces films fut tellement occulté par les médias
que je ne me souviens même plus
de son titre. Je sais qu'il est à la base d'une œuvre
de Sacha Guitri et tournée avec Alain Delon et Jean-Paul
Belmondo il y a quelques années de cela seulement, le dernier q'uils
souhaitaient tourner ensemble. Il fut prudemment et simplement
boycotté par
les médias. Peu de copies
furent tirées. Ce fut un fiasco complet. Il était
pourtant à l'origine du début d'une
série
des œuvres de Sacha Guitri. Cela ne put aboutir. Le silence
est parfois pire qu'une mauvaise publicité. Généralement,
la publicité n'est
pas, en soi un moyen d'analyser un film. Mais déjà,
peut donner une première idée et selon ce que disent
les journaux, l'idée peut
être généralement juste si l'on se base sur
la vertu que ces œuvres
du 7 em art doivent développer. La présentation d'un
film à un
concours comme Hollywood, Cannes et d'autres encore sont des tremplins
médiatiques. Si encore, ils parviennent à se faire
représenter. (30/06/2004)
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-14- Le genre
Qu'est-ce que le genre dans le cinéma?
Pour moi, dans le métier, le genre, c'est plutôt, si je
ne me trompe pas, est une tendance du film à traiter tel ou
tel sujet: politique, religieux, historique, aventure, etc. Chacun
a son genre et donc répondra
à cette catégorie. Dans chacun de ces genres, il y a
du bon comme du mauvais. Tout dépend, maintenant de la tendance.
Tendance à la violence,
à l'impudicité ou tout ensemble, un beau cocktail de
mauvaises tendances, souvent explosif. Pourtant, il existe d'excellents
films dans tous les genres. Mais il
y a des genres qui ne sont pas bons du tout et il n'en existe pas de
bons, je nomme par exemple, les fantastiques, les irréels (et
non pas la science-fiction qui peut en comporter de bons)... "Alors
quoi, il n'y
a plus rien à voir," entendrais-je quelque part? Oui, il y a
de quoi voir. Les bons films ne manquent pas de tous les temps du cinéma.
A notre époque où ils sont rares, nous en trouvons tout
de même. Et il
y a bien de quoi occuper toute une vie d'homme à regarder des
films
à raison d'un par semaine en moyenne. Je ne puis vous les nommer
tous, car ils ne sont pas tous en ma connaissance et cela me serait
impossible.
Il me faudrait en voir au moins un par jour et en faire un résumé
critique. Certes, cela compléterait une bonne base de données
fort utile. Je
n'ai pas le temps de m'en occuper. Si un visiteur en a le temps et
les moyens, je serai le premier à lui pointer un lien vers son
site ainsi dédié. (30/06/2004)
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-13- Ses aspirations
A quoi aspire-t-on logiquement sur
notre bonne vieille terre qui en "bave" autant qu'on ne peut
pas l'imaginer? Tout simplement de retourner rapidement au Ciel pour
s'en débarrasser
au plus vite. Mais ce n'est pas l'avis de tous ni de chacun. Alors,
les variantes sur tel ou tel spectacle sont aussi nombreuses qu'il
y a d'individus. C'est ce qui fait la richesse du monde, mais aussi
sa pauvreté. L'une et l'autre se côtoient de toute éternité sur
terre, même si tout a un commencement et donc un terme. Alors,
la plus part du temps, je dirai même toujours, nous trouvons
en tout individu une aspiration à la générosité.
Cette générosité n'est pas également dispensée
autour de soi ni sur soi-même. Mais elle existe bien. La plupart
du temps, elle est pour soi-même. Les autres nous verront après
et l'après
n'en voit guère le jour. ALors, on ne s'occupe que de soi. Et
soi, c'est moi, c'est vous, c'est l'égoïsme, l'égocentrisme.
Or notre époque est
férue en l'espèce. Ce qui augmente les malheureux, les
miséreux.
Alors donc, du moment que mes sens sont flattés, que je ressente
de forte sensation, alors je vais voir les films d'actions, de brutalité,
de violence et toute la panoplie qui va avec. Quant à aider
le voisin malheureux qui serait ravi et ferait un tas de chose avec
la valeur
d'une place de cinéma pour un mauvais film, il n'en est pas
question, et même on y pense même pas. Et pourtant ce n'est
pas cher payé, et même
bien payé, car les troubles du mauvais film ne vous toucheraient
pas et seriez ravis d'aider une personne. C'est là que réside
le bonheur, aider son semblable pour son bien. (30/06/2004)
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-12- La critique
progressiste
Quoi
de plus normal pour les médias de prôner le contraire
de la vertu. Pour eux, qui vivent du malheur des autres et qui
s'enrichissent à leur dépendds,
ne peuvent qu'entrenir leur rente. Alors, et ils le savent que
trop bien, n'hésitent pas à prôner les mauvais
films, à boycotter
les bons si nécessaire et, malgré leurs défaites,
s'en servent aussi pour tourner l'affaire à leur avantage à l'aide
de mensonges
éhontés. Il est donc évident que les critiques
de la presse ne peuvent pas apporter ce que tout homme normal
en attend. Seuls, à la
rigueur les appréciations techniques peuvent être
considérées,
puisqu'ils sont si matérialistes que cela les en fait
des spécialistes.
L'homme de bien ne l'étant pas forcément, appréciera
donc ce côté. Mais c'est le seul. Sauf, de se servir
de ce qu'ils disent pour en comprendre le contraire et donc prendre
sa décision en
rapport. Par exemple, si les médias montent au nues un
film c'est qu'il est réellement mauvais. Donc à proscrire
de ses spectacles. Si par contre, il dénigre un autre,
alors, il faut aller le voir. Mais méfiance tout de même
car il peut vraiment être mauvais
en tous points. Alors vaut mieux donc de ne pas s'y fier tant
que
cela, en tous cas pas aveuglément surtout. (30/06/2004)
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-11- La critique
catholique
Autrefois,
l'Eglise Catholique imprimait une critique sur tous les films
qui passaient dans les salles de chaque diocèse. Ces critiques
étaient bonnes et l'on pouvait s'y fier. Pour ma part,
je n'ai jamais été déçu jusqu'au
moment, où elle faillit à son devoir
d'orientation vers les années 1964 -1968. Alors, il fallut
se faire une idée de ce qui nous manquait. Si par bonheur
nous avions remarqué les principes d'analyses et sur quelles
bases l'Eglise se basait, il n'est pas difficile dans cette page à s'apercevoir
que les vertus en étaient le centre. Quoi de plus normal
que pour Elle de défendre ce qu'elle enseigne. 0u l'inverse,
les critiques des médias, à l'heure qu'il est prônent
le contraires sans même
le nommer, mais n'hésitent pas à l'occasion de
s'en prendre à
la vertu, à l'Eglise, comme nous le verront dans le châpitre
suivant. (30/06/2004)
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-10- L'aspect en
général
L'analyse
du film étant quasi faite, il reste une conclusion, celle
d'une appréciation générale du film au regard
de tous ces éléments.
Alors, nous comprenons mieux l'affiche, les photos et notre décision
ne peut plus être équivoque. Pourtant, il arrive
parfois de ne pas pouvoir se décider à trancher
car il manque une certaine valeur à tout cela. Un doute
alors s'installe. Ce doute est justement là pour trancher
ce différent. Ne dit-on pas là un dilemne? Oui,
s'en est un aussi. A cause d'un des choix, l'autre ne peut être
pris en considération. Pour le film il s'agit surtout
de savoir, si oui ou non il faut le voir? Il n'y a pas de réponse
normande sur son bonheur. Alors, puisque le doute persiste, s'installe,
s'insinue même parfois, abstenons-nous pour suivre l'adage
sage
"dans le doute abstiens-toi". Donc, n'allons pas voir ce
film douteux. Ils sont peut-être les plus mauvais.
En tous cas,
ils ne sont pas bons quoiqu'en disent peut-être vos amis, familles. (30/06/2004)
|
-9- Les scènes
Les scènes violentes, impudiques
ou ensemble et selon le rythme plus ou moins élevés et,
plus il est élevés, plus il est mauvais. Pour revenir au point de repère
important que nous avons développé jusque
là, tant que la vertu est atteinte, même sous prétexte
de la mettre en valeur encore d'avantage, n'est pas un bon film. "Ne
doit-on, pas
rester objectif et ne pas considérer ainsi cet élément
pour juger d'un film?" Non, car tout ce qui n'est pas vertu est vice.
Et le vice apporte
le dérèglement de la vie de l'homme. Les malheurs proviennent de ces
vices qui en entraînent d'autres. Alors, je crois que
déjà, l'homme
est assez malheureux comme cela pour lui en rajouter. D'où le
fait d'être intransigeant quant au cinéma qui n'élève
pas à la vertu. Ces scènes,
nous en avons une idée avec les photos, l'affiche du film. (30/06/2004)
|
-8- La musique
Cela ne paraît pas à première
vue, mais la musique a un fort impact sur la mentalité de l'homme.
Essayez de passer une musique mélancolique et vous serez envahis
par un sentiment de mélancolie. De même pour une musique
joyeuse, entraînante. Alors
donc, pourquoi les réalisateurs n'utiliseraient-ils pas cette
"magie" pour appuyer leurs images, qui déjà,
font vibrer les cordes sensibles de l'entendement humain? Bien sûr
qu'ils s'en servent. Mais à notre époque
plus pour faire du mal au spectateur que le contraire. Or donc, alors
que nous constatons dans les statistiques sur les médias, plus
il y a de mauvaises nouvelles plus il y a d'audimat. Alors, les médias
fabriquent de
mauvaises nouvelles
et le monde va au plus mal et ainsi de suite. Je dis médias, car se
sont elles qui sont à l'affût des événements malheureux alors qu'il
y en a tant d'heureux qui valent la peine d'en parler. Mais pour entretenir
cette corne d'abondance, il faut ménager
le monde par de bonnes nouvelles. Aussi, marche-t-on avec un pas en
avant
et
deux pas en arrière.
Du malheur des uns fait le bonheur des autres. C'est le monde, mais
de là à orchestrer, c'est digne du cinéma et dans
la réalité de
la vie c'est monstrueux, scandaleux! Et, pour revenir à nos
moutons, plus la musique est triste, sensuelle, morne, plus
il faut fuir
le film. Comment le reconnaître sur soi-même? Il suffit
de s'analyser et d'être un peu honnête avec soi-même.
Cette sensation de mal-être
que procure la musique parfois est à proscrire de soi. Voilà tout! (30/06/2004)
|
-7- Le bruitage
Au
fur et à mesure que le cinéma avançait dans
le temps, les techniques sonores progressaient aussi. Nous en sommes
arrivés à une qualité
optimum. Mais est venu entre-temps un phénomène bruyant
qui casse la tête au spectateur. D'abord, le son est mis
bien trop fort dans les salles, sous prétexte que l'effet
sonore ne rendrait pas autrement. Si le spectacle est l'abrutissement
du spectateur sous une forme
de matraquage de "boucans", alors, le 7 em art manque
son objectif. Il est devenu étroit dans son angle de vision
et n'utilisant qu'un téléobjectif trop puissant,
ne parvient plus à saisir son sujet:
le spectateur. Si un art est hors sujet, alors il perd son qualificatif
d'art. Heureusement pour celui-ci, tous les films ne sont pas ainsi,
même s'ils le sont pour la plupart. Ceux-là utilisent
ce bruitage dans le bon sens, comme "La Passion du Christ" de
Mel Gibson entre autres. (30/06/2004)
|
-6- Le sujet
Pour cet aspect
de d'objectivité, il est indispensable de posséder
quelques connaissances générales. Car, si certains
sujets, et même en majorité, beaucoup
sont issues d'œuvres littéraires voire d'événements
historiques dans tous les domaines, il en est d'autres qui sont de
pures inventions et il y a tout lieu de grandes craintes. Or, il
n'est matériellement
pas possible de tout connaître, mais il est possible toutefois
que tel auteur, époque,
domaine ou membres de la famille ou amis de nous apprendre et permettent
des recroisements d'informations. Ainsi donc, il est assez facile
d'observer
un esprit
critique quant
à l'œuvre
cinématographique. Tous les sujets qui traitent de la vertu
de loin ou de près sont à surveiller. Ceux qui n'en
parlent pas du tout ou sous-entendu, doivent, pour la plupart du
temps être écartés. Ceux
enfin qui en parlent ouvertement et dans le bon sens, valent très
certainement le déplacement. (30/06/2004)
|
-5- Le réalisateur
ou metteur en scène
Tout comme
les acteurs, les réalisateurs ou metteur en scène conservent
parfois leurs styles, leurs genres de réalisation. On peut
se fier de la même
façon. Si l'un utilise un acteur qui jouait dans des films
douteux, alors on peut douter du film si le réalisateur n'a
jamais changé
son cap. Si par contre, c'est un mauvais réalisateur, dans
le sens de la vertu et qui utilise un très bon acteur, toujours
dans le même
sens, alors il y a de quoi s'inquiéter. Car il l'utilise pour
attirer dans le mal ceux qui n'y sont pas encore. (30/06/2004)
|
-4- Les acteurs
Généralement,
les acteurs sont fidèles à leur styles à leur
genre de rôle. Un acteur
qui reste dans son cadre est un acteur qui assure le succès
du film dans lequel il joue. Ainsi donc, un acteur qui agit souvent
contre
la vertu signale que le film n'est pas bon. A contrario, un
acteur qui participe à beaucoup de films valables, garantit au spectateur
un souvenir inoubliable. Entre autres bons acteurs du cinéma:
Gary Grant.... (30/06/2004)
|
-3- Les photos
Ainsi que
l'affiche, les photos montrent ce que l'affiche n'affiche pas. Elles
permettent de remarquer des images que vous verrez dans le film.
Si là aussi, les vertus sont mises à mal, alors faites
demi-tour et déconseiller ensuite ce film si l'on vous en
parle ou si vous en entendez parler comme bon. Oh! l'argument adverse
vous rétorquera:
"l'avez-vous vu?" Vous pourrez répondre: "Point
n'est nécessaire,
l'affiche, les photos en disent assez long contre la vertu" Si
l'on critique la vertu, vous pouvez rétorquez: "Si la
vertu n'avait pas
été enseignée autrefois et encore maintenant,
la société ne serait
pas ce qu'elle mais bien pire et surtout pas aussi bien équipée
pour notre qualité de vie. Mais nous serions restés
au temps des romains, dans la barbarie". (30/06/2004)
|
-2- L'affiche
Cet
instrument qui attire le regard qui ne fait que passer est un moyen
fort puissant. Bien ou mal, l'image attire tout de suite. Elle flatte
notre esprit car généralement agréable et surtout
sans effort de compréhension. Cela se comprend, puisque nous
vivons en permanence avec l'image. N'est-ce pas une image, un film
permanent, que d'observer
autour de nous ce qu'il se passe, ce que nous utilisons?
Pourtant
l'affiche peut avoir une image mauvaise contraire aux vertus. Elle
s'affiche parfois sans pudeur, sans retenue au grand scandale public
mais étouffé par les médias. Une telle affiche
condamne forcément
le film. Il n'est pas à voir et à rejeter. Si vos amis
disent pourquoi, alors affirmez qu'il choquera car contre la vertu.
Qui choque sera
choqué et perdra en partie ses repères. Ses repères
peuvent être
d'excellentes habitudes. Et ainsi sa vie peut basculer à l'opposé
de ce qu'il fut. Ainsi s'explique le changement radical de certaines
personnes que nous connaissons bien dans notre entourage. Et les
problèmes commencent. Et cela n'est pas valable que pour un
spectacle, mais aussi des fréquentations que nous pouvons
avoir. (30/06/2004)
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-1- Le titre
En dit bien long à lui tout
seul. Pour s'en rendre compte, il est indispensable de se mettre en
situation
de recul et de critique. De recul, afin de ne pas se laisser aller
par un quelconque parti-pris afin que son jugement reste équitable.
Car d'emblée, il n'est pas dit que le film soit si mauvais que
cela et même très bon. L'esprit critique, car nous nous
trouvons en une
époque où n'importe quoi est réalisé avec
aucun sens du respect. La prudence, plus que la méfiance est
de rigueur.
Quelques exemples concrets sont
nécessaires. Un titre qui vante plus ou moins la violence ou
tout ce qui est contraire aux vertus est forcément un mauvais
film. Tout titre qui utilise les vertus peut être un bon film,
mais la prudence oriente au doute, ne serait-ce pas une moquerie ou
une tendance à entraîner
au contraire? Il arrive, cependant, qu'un titre de vertu soit excellent
comme le dernier dans le genre, "La Passion du Christ". Pour
lequel je me méfia vu la violence compréhensible, cette
fois-ci, et qui s'y affiche. (30/06/2004)
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